lundi 22 novembre 2010
Fort Jaco
lundi 15 novembre 2010
C'est la fête à la grenouille!
Cette semaine, ce qui a retenu notre attention, c'est la pluie. Ce qui est banal, n'est-ce pas? Pas forcément! Car la Belgique connaît depuis quelques semaines des pluies diluviennes. La terre est imbibée d'eau et les rivières sortent de leur lit, ce qui rend la situation difficile pour des centaines de belges. Justement vendredi, les trains ont connu d'importants retards dû à la situation météorologique. En temps de pluie, la vitesse est maintenue au ralenti pour éviter les déraillements. Le soir, on entendait la pluie frapper très fort dans les fenêtres. Ceux qui avait des volets ont été avertis qu'ils devaient les ouvrir pour éviter qu'ils se détachent de la maison tant les vents étaient forts.
Malgré toutes nos technologies, jamais nous ne pourrons dominer la nature. Les inondations exceptionnelles de ce week-end ont été dramatiques tant sur le plan humain que matériel.
Voici un vidéo sur la ville de Tubize, à peine 20 minutes de voiture de chez-nous.
Malgré tout, la situation se normalisera dans les prochaines semaines. La météo sera beaucoup plus clémente. Ils annoncent du temps sec et du soleil. Ce qui aidera grandement la situation.
lundi 8 novembre 2010
Bric-à-brac
Michel, quant à lui, a mis son pyjama de squelette! Pauvre lui, on ne le nourrit plus depuis qu'il est ici... ;-) On lui a même coupé les cheveux!!!
Le Centre belge de la bande dessinée, ou Musée de la BD, est installé à Bruxelles, rue des Sables (humoristiquement rebaptiséerue Schtroumpf), dans un bâtiment, chef-d’œuvre de l’art nouveau conçu par Victor Horta en 1906 pour abriter les grands magasins de tissus Waucquez.
Après une complète restauration des lieux, le Centre belge de la bande dessinée a ouvert ses portes en 1989.
Devenu un grand musée à vocation internationale, le centre abrite une exposition permanente, qui retrace l’histoire de la bande dessinée belge du début du xxe siècle à nos jours, ainsi que la plus grande bibliothèque de bandes dessinées et centre de documentation accessible au public au monde.
Il propose également de nombreuses expositions temporaires (plus de 60 depuis la fondation) et organise des rencontres entre les auteurs et le public. (Wikipédia)
«L’Association bénéficie d’une très grosse couverture médiatique en Belgique. L’Enfant des Etoiles est aujourd’hui reconnue comme une des plus importantes associations de Belgique oeuvrant au profit de l’Enfance et de la Jeunesse. Elle bénéficie de l’appui des plus hautes Autorités du pays et du Haut Patronage de Leurs Majestés le Roi et la Reine.» www.lenfantdesetoiles.com
samedi 6 novembre 2010
Reims, 14 ans plus tard...
J'ai eu la chance de visiter la cathédrale une première fois en 1996; c'était l'été qui suivait ma (première) graduation. Tout frais diplômé d'histoire et de pédagogie, j'ai passé un peu plus de deux semaines en France, ce qui m'a permis de visiter la Normandie, Paris, et la région de Compiègne notamment. Mon père avait sacrifié tous ses miles de récompense Aéroplan pour m'offrir ce voyage; je ne saurai jamais l'en remercier assez.
Reims avait été sans contredit l'un des points forts de mon voyage. Pensez! Visiter un édifice au tel sens historique; à la telle valeur artistique... L'une des grandes caractéristiques de la cathédrale est qu'elle est un lieu vivant. Au cours des siècles, elle s'est transformée, s'est enrichie d'oeuvres nouvelles. Les vitraux commandés à Marc Chagall à la fin des années 1960 en sont probablement le plus bel exemple.
En 1996, ces vitraux m'avaient déplu. Je me scandalisais à l'idée que des vitraux plus anciens aient pu être remplacés. Cela m'apparaissait comme, disons, un sacrilège, une profanation.
Et en 2010?
Les vitraux sont situés dans la chapelle axiale de la cathédrale; tout à l'arrière. Ils ne peuvent être vus de l'entrée. C'était le milieu de l'après-midi. Michel était calmement assis dans sa poussette. Je lisais attentivement chacune des bannières et des écriteaux mis à la disposition des visiteurs. Je m'imbibais tout doucement de la sérénité du lieu. Imperceptiblement, la lumière changeait au fur et à mesure que j'avançais.
Lorsque je levai les yeux vers l'oeuvre de Chagall, l'atmosphère était bleutée. Contrairement aux autres, si majestueux mais si lointains, ces vitraux habitaient véritablement l'espace qui leur est destiné. Ils parlent véritablement à celui qui prend le temps de les regarder. 14 ans plus tard, je puis dire sans hésiter qu'ils sont ceux que je préfère.
Parfois, la sagesse attend le nombre des années.
mercredi 3 novembre 2010
Reims
Hugues Libergier, né ?, décédé en 1263 à Reims, était un architecte.
Architecte de grand talent, il réalisa notamment l'église saint Nicaise de Reims dont les travaux débutèrent en 1229 et furent repris 1264 par Robert de Coucy pour être terminé en 1311. Il y fut enterré, mais l'église fut détruite en 1798, lors de la Révolution française et la dalle de son catafalque, seul rescapé de la destruction, a été transféré en la Cathédrale de Reims, il est inscrit sur sa face : « ci-gît maistre Hugues Libergiers qui commença ceste église en l'an de l'incarnation MCC et XXIX le mardi de Pâques et trépassa en l'an de l'incarnation MCCLXIII le samedi après Pâques. Pour Dieu, priez pour lui ».1
Il est représent en habit de ville, tenant en sa dextre la maquette de sa réalisation en sa senestre une canne régle et avec une équerre et un compas à ses pieds. (Wikipédia)
Les verrières de Marc Chagall
L'horloge astronomique, "horloge du chapitre" du XVe siècle indiquant les phases de la lune, fonctionne encore et sonne à tous les quarts d'heure.